Le syndrome de l’opposant politique: candidate à la prochaine élection présidentielle, Keiko Fujimori risque 30 années d’emprisonnement

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Escale au Pérou. Le ministère public Péruvien a annoncé hier jeudi, avoir requis contre la leader de la droite populiste, Keiko Fujimori, trente (30) années d’emprisonnement ferme. D’après les informations parvenues à Metrodakar, la candidate de 45 ans a été accusée d’avoir financé illicitement ses candidatures infructueuses de 2011 et 2016.

 

Le procureur Jose Domingo Perez sera à la trousse de Keiko Fujimori et 41 autres personnes « pour les délits présumés de blanchiment d’argent, crime organisé, entrave à la justice et fausses déclarations », renseigne le ministère public. Ainsi c’est à l’issu d’une enquête de 28 mois, que la fille de l’ancien Président Alberto Fujimori, candidate à la prochaine élection présidentielle d’Avril 2021, a été accusée d’avoir reçu 1,2 million de dollars de financement illicite, du grand géant brésilien de la construction Novonor.

 

Selon l’Agence France Presse, la date du procès n’a pas encore été communiquée. Etant candidate à la présidentielle du 11 Avril, Keiko Fujimori a annoncé qu’elle allait « continuer à faire face à cette persécution ».

METRODAKAR

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